Pourquoi protéger son rachat de credit immobilier ?
L’assurance emprunteur a cette particularité d’être utile à la fois à la banque prêteuse, à l’intermédiaire ayant monté le dossier ainsi qu’à l’emprunteur lui-même, c’est vous dire si elle est indispensable, incontournable, recommandée chaudement par les professionnels et quémandée par leurs clients.
Adulée par les acteurs du rachat de crédit
L’emprunteur demandant un rachat de credit immobilier a plus qu’intérêt à souscrire une garantie lui permettant, au cas où une maladie ou un accident l’empêcherait de travailler, de toujours être en mesure de s’acquitter des remboursements, et à son conjoint co-emprunteur au cas où l’un de ces évènements causerait son décès de pouvoir le faire. Il s’agit donc d’une sécurité pour sa famille.
S’il y a une chose dont une banque ne veut pas entendre parler, c’est du défaut de paiement. Sa solution est donc d’imposer la souscription d’une assurance emprunteur, qui se chargera de payer les mensualités à la place de ses clients au cas où ces derniers se retrouveraient incapables de travailler, voire perdraient leur emploi. Il s’agit donc d’une sécurité pour ses caisses. D’aucuns objecteront que la garantie financière (hypothèque conventionnelle ou caution mutuelle) exigée par les prêteurs les préservent d’un tel risque. C’est vrai. Mais, même ainsi garanti, le rachat de credit immobilier n’est pas une pur prêt sur gage ! En France, une banque ou un établissement de crédit ne doivent prêter que si l’emprunteur est mesure de rembourser normalement son emprunt, sans qu’il y ait lieu de procéder à la vente du bien immobilier apporté en gage. La solvabilité prime donc la garantie. Qui plus est, selon la quotité du prêt par rapport à la valeur marchande du bien au moment de la souscription du prêt de restructuration, si la défaillance de l’emprunteur intervient tôt, il n’est pas certain que le produit (net de tous les frais) de la vente du bien aux enchères publiques (à la bougie) intervenant à la suite d’une procédure de saisie immobilière couvre sa créance.
D’ailleurs, les tribunaux se montrent de plus en plus exigeants envers les banques et établissements de crédit au niveau de leur devoir de conseil. En particulier dans le cadre d’un regroupement de credits destiné à resolvabiliser un ménage, il ne faudrait pas qu’un impondérable comme la maladie ou l’accident qui frapperait l’un des emprunteurs ait pour effet de plonger l’autre dans le surendettement.
C’est pourquoi, à l’exception rarissime des prêteurs qui acceptent de n’assurer qu’un emprunteur sur deux lorsque chacun de leurs revenus permet à lui seul de faire face aux échéances sans dépasser les normes habituelles d’endettement, une assurance garantissant les deux emprunteurs au moins contre le risque de décès est exigée, quelques fois selon une quotité dépendant des revenus respectifs.
Entre les deux se trouve, soit un conseiller clientèle, soit un courtier en réaménagement de prêts. Si la banque lui impose une assurance emprunteur, il a le droit de se tourner vers divers assureurs afin d’obtenir la meilleure formule au meilleur tarif, droit dont il ne se prive pas, d’une part pour baisser au maximum le coût du rachat de credit (le coût de l’assurance emprunteur, lorsqu’elle est obligatoire, impacte le TAEG) pour son client et, d’autre part, pour percevoir une commission de la part de l’assureur lui-même, c’est le principe d’une société de courtage. Par rapport aux contrats groupes souscrit par les banques et établissements financiers, la délégation d’assurance permet souvent de réaliser de très appréciables économies pour l’emprunteur.
Le large choix de l’assurance pour un rachat de prêt immobilier
Il serait difficile de faire tenir en quelques lignes les nombreuses garanties proposées par les assureurs, et surtout les méthodes de calcul des cotisations. Il est clair qu’à la lecture de ces mécanismes tentaculaires et labyrinthiques, l’emprunteur n’ayant pas de formation particulière en ce domaine a plutôt intérêt à se tourner vers un courtier.
Qui plus est, à l’instar de la recherche de financement, l’intermédiaire en opérations de banque et en assurance fera jouer la concurrence au profit de son client entre les très nombreux assureurs du marché. Il faut donc choisir un professionnel qui vous offre un service complet. Pour cela, il convient de vérifier à la page « Mentions Légales » de son site Internet que l’IOB est bien inscrit à l’ORIAS en tant qu’intermédiaire en opérations de banque et en opérations d’assurance.
C’est pourquoi nous vous recommandons le site http://www.e-rachat-credit.fr dont la société éditrice est un IOBSP confirmé, inscrit à l’ORIAS pour l’intermédiation bancaire et l’assurance, titulaire d’une assurance de responsabilité civile professionnelle à ce double titre et qui est membre de l’Association Française des Intermédiaires Bancaires (AFIB).